Mon Grain d’Sel : Pourquoi je soutiens le projet scientifique The Venus Project ?

Mon Grain d’Sel : Pourquoi je soutiens le projet scientifique The Venus Project ?

Mon Grain d’Sel : Pourquoi je soutiens le projet scientifique The Venus Project ? 1217 1870 Sébastien BAGES

Dans le cadre de la campagne «Why I Advocate The Venus Project?», votre aimable rédacteur a décidé de faire une courte vidéo, de façon très amateur, pour introduire le pourquoi du comment de cette démarche.

[box type= »warning » ]Rappelons que les articles [Mon grain d’sel] sont des points de vue qui n’ont rien à voir avec les autres contenus de C2.0 mais le point de vue orienté de l’auteur.[/box]


Sébastien B., votre aimable hôte, a choisi de suivre un campagne récente dans le cadre d’un projet scientifique créer pour une refonte de la société appelé le Projet Venus (The Venus Project) via une Économie Basée sur les Ressources plutôt que l’argent.

Aujourd’hui, de plus en plus de professionnels et non-professionnels prennent contact avec ce projet et l’on a pu voir récemment son émergence en France. Le livre de l’écrivain-économiste Guillaume Thuillet ou encore, l’ouverture d’une équipe francophone en est un bon exemple.

Ainsi, j’ai décidé d’expliquer brièvement mes motivations dans un petit film qui est adressé à tous.

A travers ce court-métrage, nulle propagande, simplement une personne souhaitant exprimer ses sentiments.

Si vous souhaitez avec seulement le texte, il sera affiché en deçà de la vidéo :

 
Transcript :

Bonjour à tous,


Je vous fais aujourd’hui cette vidéo pour qu’elle puisse se répercuter dans le futur et trouver des échos.
J’ai rêvé comme vous tous d’un monde d’une certaine sensibilité, d’une ardeur à s’entretenir sans s’entre-tuer. Un jour, j’ai fermé les yeux et j’ai pleuré. J’ai pleuré de me sentir si con dans un monde où les jeux enfantins se retrouvent exacerbés mais où la voix ne porte plus de cris. Où les bagarres de récré, les jeux de marchandes, le jeu du chat et les trappes-trappes bisous existent toujours dans un cadre se voulant plus sérieux et strict. Dans un monde qui a ces derniers comme base et n’arrive plus à évoluer.


J’ai écouté des gens comme Martin Luther King, Mahatma Gandhi, Severn Suzuki, Adora Svitak,(…). Comme la plupart d’entre nous humains, je me suis retrouvé en des mots… si puissant… qu’ils ont balayé n’importe qu’elles idéologies à l’intérieur de mon cœur.


Quelques années de plus… je reviens de ce couloir sombre et étroit. Souvent, je m’arrête, observant ce qui se passe autour de moi et je vois tant de contradiction malheureuse mais évitable, je me sens si petit… Vous est-il déjà arrivé cela ?


Notre société est façonnée de telle sorte que, lorsque l’on veut aider, construire et aimer, elle nous repousse, nous banni et quelque fois nous détruit.


Pourtant, chacun de nous souhaite faire le bien, chacun se sens seul malgré le nombre de personnes qui nous entourent, chacun souffre dans un bruit de cristal brisé.


Dans ma courte vie, beaucoup d’outils m’ont été donné afin de chercher l’idée qui pourrait faire révolutionner les choses, mettre fin à une société emplie de victoires instantanées à la Pyrrhus, mais que de difficultés.


Après maintes et maintes barrières franchies, limites dépassées et groupes soutenus, je me suis heurté à quelque chose d’envergure. Un projet, une constellation d’idées bien différentes de toutes celles dont j’ai pu saisir les teneurs et nuances.


Habituellement, lorsque l’on cherche une chose pour essayer de changer le monde bien que cela soit une vaste tâche, nous tombons surtout sur des groupes qui essaient de nous dire de nous changer nous-même. Le fameux « change-toi et le monde changera ». Le genre de choses que les religions ont essayé, puis les groupuscules plus ou moins secrets, puis les sectes, les médias et politique, et enfin les communautés bio-éco-auto-nome. Se changer peut paraître bien. Mais se changer cela veut aussi dire ne plus être ce que l’on était, ne plus être le soi que l’on s’est construit.


Vous avez aussi tous les groupes ONG qui essaient du mieux qu’ils le peuvent d’aider et de panser les plaies. Cela n’a pas changé le monde et tous ces organismes qui luttent au jour le jour voient les choses empirer.


Alors, comme je le disais, au hasard de mes démarches, j’ai vu quelque chose de nouveau. Comme tout le monde réagit lorsque c’est nouveau, je me suis méfié. Puis, avec l’aide d’un mouvement, j’ai regardé, épié ce projet méconnu de la plupart des gens. Cela m’a pris trois ans avant de m’y inviter pour m’investir complètement.


C’est alors que j’ai pu entrevoir quelque chose de bien, une vision, une conception de ce que pourrait être un futur humain, pouvant créer cette empathie que nous désirerions tous. Tous les jours, j’apprends beaucoup car ce projet ne se prend pas comme une unique démarche individuelle mais comme la mise en relation d’idées intellectuelles, d’une somme d’expériences incroyable.


Deux personnes de génie, des milliers de scientifiques, ingénieurs et techniciens associés étudient chaque jour le concept et le développe. Des centaines de publications partout autour du monde, conférences, entretiens, télévisions, show radio,(…), ont été fait. Un centre de recherche a été dédié à celui-ci. La ville qui l’accueil lui a d’ailleurs donné son nom.


Cette épopée à laquelle j’essaie de participer se nomme le Projet Venus. Pour vous, ma famille, ma femme et ma fille, à notre futur et à notre planète.


Merci de m’avoir écouté.


C’était Sébastien B. dans le cadre du programme « pourquoi je soutiens le Projet Venus ».


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About the author

Sébastien BAGES

Plus de trois années de travail passionné sur Civilisation 2.0 Actus, et fondateur de l'association Civilisation 2.0, je mets à contribution mon expertise de veille technique et scientifique, mon analyse de chef de projet, mon engouement pour la science et ses outils, et mon expérience dans le développement stratégique afin d'offrir à tous ce qui en résulte.

2 commentaires
  • Le jeune homme que vous voyez-là, je le connais et il me connait aussi et pourtant nous ne nous sommes jamais rencontré.Et, parce que j'ai pris connaissance à un moment précis de certaines choses, j'ai ainsi accepté « l'inévitable » (il est absurde de s'engager dans quelconque combat idéologique que l'on sait perdu d'avance)…Mais (il y a toujours un « mais » dans les histoires), je tiens beaucoup à féliciter ce jeune homme pour:- Son humanisme (peu le sont concrètement, il faut revoir la définition de « humain » dans les encyclopédies)- Sa persévérance (je sais ce qu'il a enduré en particulier les nombreuses critiques au sein du mouvement dont il fait allusion, rares sont ceux qui continueraient suite à cela)- Son courage (souvent sujet à des menaces de toutes sortes, ici aussi peu de personnes continueraient en faisant abstraction)- Son génie (des connaissances dans tous les domaines scientifiques ou non, un sens de la créativité hors du commun)Soyez alors sûr que ce qu'il raconte est de la plus stricte sincérité.Une sincérité dont l'ampleur n'a d’égal que celle de cet intérêt passionnel pour le bien être de l'ensemble de l'humanité.Alors, il croit au Projet Venus ?Aussi « parfait » que puisse être le système (en le sens où il a été pensé par des intellectuels depuis plus de un siècle maintenant et ayant des années d'avance sur n'importe quelle autre idéologie de ce monde), c'est cette « perfection » même qui peut lui être fatale…Avec mes encouragements les plus sincères également,

  • Bonjour.
    Personnellement je soutien le projet venus, car il me semble être une ‘finalité’ idéale. Même si la transition, elle, me semble difficilement faisable dans des conditions ‘non violentes’ (c’est pour cela, entre autre, que la lecture du livre de Guillaume Thuilliet m’intéresse).
    Par contre, en ce qui concerne votre cite « civilisation 2.0 », je trouve extrêmement dommage que tous les sujets traités soient absolument ciblés ‘pro’jet venus; Je m’explique:
    -d’une part, je trouves que vos sujets technologiques sont traités trop en surface (en comparant vos sujet à des mêmes sujet sur d’autres sites), pas assez de détails « techniques » ou autres, de dates par exemples, ou tout simplement le fait que tous les sujets traité sont directement liés au projet.
    -d’autre part, exposé ce projet (venus) à des gens comme moi (faisant parti des « petites gens ») est tout à fait commode car nous sommes la cible idéale (précarité, ras le bol et j’en passe..), nous convaincre n’est pas difficile. Or, dès que j’essaye d’exposer ces idées à une personne un peu ‘trop éduquée’ (scientifique diplômé, auteur, philosophe diplômé..) ou aisée elle se ferme tout de suite en arguant des termes comme: sectaire ou dictature technocratique; ce qui, en vérifiant les définitions n’est, ni vrai, ni faux, mais profondément péjoratif de leur bouche.
    Là où je voulais en venir avec ce deuxième point, c’est que quand votre site devrait nous aider à convaincre ou tout du moins à argumenter avec des gens comme ça, il ne le permet pas dût à son manque de rigueur.
    J’espère que vous aurez compris mon point de vue.

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