« Le Savant et le Politique » de Max Weber

« Le Savant et le Politique » de Max Weber 800 1315 Mathias TECHER


« Le Savant et le Politique » de Max Weber

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Introduction

Cette traduction en français de deux conférences de l’économiste et sociologue allemand Max Weber (1864-1920), l’une traitant du métier et de la vocation du savant et l’autre du métier et de la vocation du politique, permet de découvrir une réflexion solide sur ces deux sujets. Deux sujets qui, à l’heure d’une société dites de « post-vérité », méritent, selon nous, d’être entendus par le plus grand nombre. Cet ouvrage donne en effet accès à deux conférences données en 1919, au sortir de la Première Guerre mondiale, au sein d’une Allemagne se questionnant à la fois sur son modèle universitaire et sur le fonctionnement de la chose politique. Le tout dans un monde en proie à l’essor fulgurant du capitalisme, et donc inscrit dans une période de mutations socio-économiques sans précédent. Au regard de l’investissement de plus en plus croissant des citoyens pour les questions d’ordre politique et la confusion de plus en plus notable entre le temps médiatique et le temps de la recherche, ce regard analytique du sociologue et père de la sociologie compréhensive, Max Weber, permet une meilleure compréhension du sens que l’on peut accorder à ses actes. Notamment lorsque l’on agit en savant ou en politique, en se concentrant sur les motivations à agir propres à ces deux postures distinctes. Un regard somme toute singulier si l’on est plus au fait de l’approche sociologique de son homologue contemporain, le sociologue français Emile Durkheim (1858-1917), autre père de la sociologie moderne, adoptant une approche plus structuraliste des faits sociologiques. Une approche impliquant de voir les individus comme des entités hétéronomes, à savoir des individus muent par des lois qui leur parviennent de l’extérieur. Deux écoles sociologiques donc, qui ne s’annulent pas nécessairement mais se complètent, dès lors que l’on s’intéresse aux travaux des auteurs sans volonté de prendre parti. Ceci étant dit, quelles sont les réflexions que l’on peut retirer de cette intervention de Weber, sur la posture du savant et du politique ?

Ce regard étant posé, comment l’auteur nous propose-t-il d’associer les regards du savant et du politique pour mieux appréhender le monde ? Voilà donc, selon nous, ce que cette lecture nous apprend des réponses possibles à ces questions. 


Concernant la posture du savant :

Max Weber parle dans un premier temps de la posture du savant, face à une assemblée s’interrogeant sur la nature de la « vocation » de ce métier.
Pour répondre à cette interrogation le sociologue introduit son propos par une analyse des conditions extérieures, à savoir l’environnement dans lequel les savants exercent leur métier. Notamment lors de la transition du statut d’étudiant à celui de professeur ou de chercheur, c’est-à-dire lorsque l’aspirant savant décide de faire de la science son métier. Le propos s’ouvre donc sur une analyse du milieu universitaire allemand, en comparaison aux systèmes français, anglo-saxon et américain. Une analyse qui met en lumière les avantages et inconvénients des systèmes
ploutocratiques allemands et bureaucratiques étasuniens. Une critique qui met le doigt sur les freins structurels à l’acquisition d’un poste de savant, quelque soit les modes d’organisation adoptés, soit une analyse assez durkheimienne du sujet.

L’un créant une carence de savoirs en début de cycle, les anciens ayant la primeur de certaines disciplines, l’autre optant pour une méthode radicalement opposée, avec une surcharge de travail dévolue dès les premières années d’apprentissage. Une surcharge apte à refroidir les plus téméraires, et donnant peu de marge pour des études plus approfondies des disciplines que l’aspirant savant pourrait vouloir explorer.
Une critique qui fera écho, dans un second temps, à l’analyse que Max Weber portera sur le métier et la vocation du politique, selon les pays. 

Ce regard analytique sur les conditions du métier du savant amène également l’auteur à parler du hasard, un facteur non négligeable de la carrière de tout savant et qui complique par conséquent l’accès à ce statut. Un statut qui s’acquiert souvent par des concours de circonstances imprévisibles qui rendent, en certaines occasions, les succès ou les échecs des individus non complètement dépendant du travail et des efforts fournis par ces derniers. 

L’analyse des conditions d’expression de ce hasard amène par ailleurs le sociologue à étudier les raisons qui donnent lieu à un tel état de fait, des raisons qui l’amènent à décrire les lois qu’il semble avoir identifier dans l’action concertée des hommes. Son regard, issu cette fois-ci de la tradition de la sociologie compréhensive wébérienne, dont il est l’instigateur, se porte donc sur les mécaniques de collaboration entre les individus de chaque instance, voire entre ces mêmes instances. Des collaborations qui ne donnent pas toujours lieu à l’expression d’un choix optimal, voire même raisonnable. C’est ainsi que le « Favori » est rarement le choix qui fait mouche, et que l’on se retrouve avec des places attribuées au second ou au troisième candidat, un phénomène que l’on retrouve également au niveau politique lors des élections. Ces imperfections dans la convergence de l’intérêt des individus expliquent également la porosité qui existe lorsque des médiocres ou des arrivistes accèdent aux plus hautes fonctions, qu’elles soient politiques ou universitaires. C’est donc là un autre point qui lie les deux conférences données par Max Weber, et qui dévoilent ainsi un certain parallèle entre les vocations de politique et de savant, un parallèle cependant imparfait, comme ne manquera pas de nous le rappeler l’auteur.

S’ensuit une réflexion du sociologue sur la nécessité pour tout aspirant au statut de savant, de posséder à la fois les qualités dudit savant et celle du professeur. Un double visage, selon lui indispensable, mais qui présente, de prime abord, une certaine contradiction. Une contradiction que tout individu pensant avoir la « vocation » du savant se doit, selon lui, de surmonter. Cette réflexion permet également à Weber de rappeler que la qualité d’un professeur ne se mesure pas à l’affluence, ou non, des étudiants qui assistent à ses cours, mais plutôt à la capacité qu’aurait celui-ci à exposer des problèmes scientifiques de façon à les rendre compréhensible pour un esprit non préparé mais doué. Le tout afin que ce dernier puisse s’en faire une opinion éclairée. L’auteur rappelle cependant que cette double aptitude, si elle se trouve chez un même homme (ou une même femme [l’écrit de l’auteur étant inscrit dans son époque on y retrouve une certaine forme de sexisme, oblitérant le statut de la femme savante ou politique]), cela reste, selon lui, le fait d’un pur hasard. Cette réflexion étant faite, et le constat amer de l’influence du hasard dans la carrière de tout savant exposé, aux aspirants de faire leur choix et de jauger leur capacité à supporter un tel degré d’incertitudes quant à leur avenir dans ces domaines. 

Un autre point que Weber explicite plus en détail est celui de la nécessaire spécialisation des savoirs. L’auteur expose en effet qu’à l’heure d’aujourd’hui, plus personne n’espère devenir un généraliste accompli, tout au plus chaque spécialiste de sa propre discipline peut consulter ses pairs, afin de confirmer ou infirmer une information concernant une discipline voisine. Les savoirs se sont ainsi étendus à un tel point que tout savant désireux d’accomplir quelque chose, se doit d’en passer par une spécialisation rigoureuse. Toute personne ne pouvant s’astreindre à un tel devoir de spécialisation ne peut donc, selon Weber, prétendre au statut de savant. La passion, qui accompagne toute vocation, ne peut donc pleinement s’exprimer si l’individu ne concentre pas ses efforts dans une direction donnée. Mais là encore l’auteur pointe du doigt la part de hasard qui accompagne ce processus. En effet, quelle que soit la passion d’un individu et les efforts qu’il ou elle fournit, encore faut-il qu’une inspiration juste émerge de sa réflexion et de son travail. Le travail du savant n’est donc pas purement mécanique et comporte une part d’imprévisibilité et de sérendipité cruciale. Le terme de « sérendipité » n’est pas utilisé par l’auteur mais résume assez bien ce que ce dernier entend par « inspiration ». Ce passage de la conférence démontre aussi tous les mécanismes, à la fois externes et internes, qui entrent en jeu dans la production des savoirs. Ce constat étant fait, le sociologue concède que certaines des meilleures idées du genre humain ont été formulées par des dilettantes, des personnes peu rigoureuses, mais il insiste également sur le fait qu’une personne qui allie passion et inspiration, travail et sérendipité, est plus à même d’apprécier et d’exploiter la portée de ses propres intuitions. Ainsi les deux vont, selon lui, de pairs. Le travail et la passion provoquent donc l’intuition plus aisément que l’attitude oisive du dilettant. Cette réflexion s’étend par ailleurs, selon Weber, à toutes les autres professions qui impliquent une recherche d’efficience et de compréhension, et donc également au métier du politique. L’auteur rappelle cependant que, bien que le phénomène de l’intuition soit rare à s’exprimer, il ne faut pas pour autant nous abandonner aux paroles des personnes se disant inspirées. Tout un chacun serait donc, selon l’auteur, plus inspiré de se mettre au service de sa cause, plutôt qu’au service d’individus servant ladite cause. Il en va en tout cas ainsi pour ceux et celles qui désirent embrasser la vocation du savant ou du politique. 

Cette réflexion étant faite, l’auteur discute de la nature singulière de la science, et notamment de son lien étroit avec la notion de « progrès ». Max Weber introduit son propos par une comparaison avec le milieu artistique. En effet, dans l’art, on ne peut réellement parler de progrès, puisqu’une œuvre, même ancienne et « achevée », ne pourra réellement être dépassée. Car, si les techniques évoluent, l’œuvre conserve sa valeur première et égalera toute œuvre achevée qui lui succédera. 

L’artiste n’a pas dans l’idée de réaliser son œuvre dans le but de surpasser ses prédécesseurs, elle se suffit à elle-même, il en va tout autrement du scientifique qui met en œuvre ses réflexions. C’est ainsi que l’auteur nous rappelle que « toute œuvre scientifique « achevée » n’a d’autre sens que de faire naître de nouvelles « questions » : elle demande donc à être « dépassée » et à vieillir » [cf : extrait ouvrage] ! Là est le lien intime entretenu entre le progrès, tel que vu par l’auteur, et le travail scientifique, donc la science. Le progrès, vu ainsi, sous-entend donc l’idée d’un perfectionnement a priori infini. Quel est donc, du coup, l’intérêt de s’atteler à une tâche sans fin ? C’est là une interrogation légitime, selon Weber, dès lors qu’on envisage la science sous cet angle. Comment « l’homme de science » répond-il à cette question, vis-à-vis de sa vocation ?  L’auteur envisage, pour répondre à cette question, de parler d’un « processus d’intellectualisation » [ibid], un processus auquel nous serions soumis depuis des millénaires. Le sociologue balaie dans un premier temps l’idée selon laquelle nous aurions, de facto, une connaissance supérieure à celle de nos ancêtres. En effet, bien que nous ne connaissions pas le détail de toutes les réalisations scientifiques qui inondent notre quotidien (a contrario de certaines populations au quotidien plus rudimentaire), la science est ainsi faite que nous « comptons » sur les réalisations qui émanent de la démarche scientifique. Le processus d’intellectualisation, dont il est ici question, n’implique donc nullement « une connaissance générale croissante des conditions dans lesquelles nous vivons » [ibid]. Ce processus implique plutôt la mise en place d’une confiance raisonnable vis-à-vis des explications objectives que nous pourrions obtenir des phénomènes qui se déroulent autour de nous. Nous sommes en effet en capacité de prévoir plus finement le monde qui nous entoure, c’est là le cœur de la fameuse formule du « désenchantement », tant honnie par une partie des objecteurs du progrès et de la science au sens large. Cette réflexion étant posée, Weber pose le fait que la première tentation du lecteur serait de réagir à la façon de Léon Tolstoï, le progrès étant, en principe, infini, toute civilisation qui abonde en ce sens est condamnée à un sentiment d’incomplétude vis-à-vis du sens même de sa vie. Une posture somme toute raisonnable puisqu’en effet, quoique l’on fasse, nous ne pouvons pas répondre à l’entièreté des questions qui se posent à nous. Nous ne pouvons donc saisir, selon l’auteur, que du provisoire et non du définitif. Une posture qui se détache assez nettement des premières réflexions helléniques vis-à-vis de la philosophie naturelle, soit l’ancêtre de la science. Ces pionniers ayant aspiré, dans un premier temps, à la découverte du « Vrai », suivi, dans un second temps par la population occidentale, vers la Renaissance, à la connaissance de ce que ces derniers appelaient « Dieu ». Une posture que l’auteur critique comme étant à la racine du romantisme intellectualiste moderne, concept fondateur, selon le sociologue, de l’irrationalisme contemporain. Cet optimisme naïf mis de côté, Max Weber nous rappelle que la science n’a pas pour vocation à répondre aux questions qui nous importent le plus, à savoir « Que devons-nous faire ? Comment devons nous vivre ? », ainsi la science ne donnera jamais la réponse à la grande question de la vie, l’univers et le tout… Cette dernière n’ayant pas pour vocation de répondre aux grandes questions, contrairement au politique, l’auteur nous invite à considérer l’intérêt de celle-ci quant à sa capacité à nous aider à poser correctement ces dernières. 

Ceci étant dit, l’auteur en vient par la suite à préciser que lorsque le savant s’empare d’un sujet politiquement connoté, tel que celui de la « démocratie », ce dernier se doit de l’aborder sous ses diverses formes. L’idée étant avant tout de s’intéresser au fonctionnement propre à chacunes des formes du sujet, afin d’en analyser subséquemment les conséquences qui leur sont propres. Vient ensuite l’analyse des sujets antinomiques, ici à la démocratie, afin que l’auditeur ait pleinement conscience de la notion discutée et qu’il prenne par la suite position selon ses propres « idéaux fondamentaux ». Il est question ici d’éclairer la décision de l’apprenant et non de l’influencer, que ça soit par la suggestion, la manipulation ou l’omission. Dans cette partie l’auteur tente de prémunir ses lecteurs de confondre le savant avec le prophète ou le démagogue. Les conditions d’expressions de l’un n’étant pas celles des autres, à savoir que si les seconds s’expriment sur la voie publique, le premier lui s’exprime dans un amphithéâtre, le rapport de force vis-à-vis de l’auditoire n’est donc pas le même.

La critique du maître porte ainsi plus à conséquence pour l’étudiant que la critique du prophète ou du démagogue pour le citoyen. Max Weber présente ici une limite éthique au métier du savant, en exigeant de ce dernier qu’il ne profite pas de sa position pour marquer ses élèves de ses propres conceptions politiques. Il invite ce dernier à se contenter de leur être utile par l’apport de ses connaissances et de son expérience scientifique. Élèves qui sont par ailleurs bien trop souvent à la recherche d’un chef plutôt que d’un professeur. C’est là un idéal, dur à tenir, certes, mais nécessaire, si l’on désire accéder, autant que faire se peut, à la compréhension intégrale des faits. Des faits que le sociologue n’hésite pas à présenter comme parfois désagréables… puisqu’une chose peut être vraie, bien qu’elle ne soit ni belle, ni sainte, ni bonne. Un autre fait désagréable est celui qui se fait jour lorsque la science ne peut trancher sur certaines questions éthiques, car, selon notre positionnement personnel et moral, nous pourrons, ou non, être en accord avec le sermon « n’oppose pas de résistance au mal »… Puisqu’un autre pourrait dire que si nous ne résistons pas au mal nous sommes, au moins en partie, responsable de sa victoire. Voilà, selon Weber, des exemples de questions insolubles pour le seul savant. Des questions dont les réponses relèvent avant tout des convictions profondes de tout un chacun.

Le savant peut tout au plus, dans sa pratique, mettre à disposition d’autrui un certain nombre de connaissances, qui nous permettent de dominer techniquement la vie par la prévision, des méthodes de pensée et des instruments cognitifs, pour discipliner notre raison, ainsi que délivrer une certaine clarté, afin de nous montrer l’ensemble des options possibles lorsqu’un problème se présente.

Ainsi, si l’on se pose la question de savoir si la fin justifie les moyens, le professeur pourra simplement nous montrer la nécessité de ce choix et les options qui se présentent à nous, ni plus, ni moins. Au-delà de ce rôle, ce dernier ne pourra que nous prédire les conséquences de nos actes, suivant le retour des expériences antérieures auquel ce dernier pourra se référer. Tous ces éléments peuvent nous éclairer quant aux meilleures décisions qu’il nous faudra prendre si nous désirons voir advenir telles ou telles conceptions que nous avons du monde, conceptions que nous aurons choisies au préalable pour des raisons qui nous sont propres. Le savant nous amène donc, selon Weber et sa sociologie compréhensive, à aider l’individu à se rendre compte du sens ultime de ses propres actes et ainsi à prendre ses responsabilités. Max Weber nous invite, quant à lui, au travers de cette description de la posture du savant, à ne pas céder à la tentation de diaboliser ce métier que nous ne comprenons, pour une grande part d’entre nous, que trop peu. Il nous invite ainsi à nous y confronter via une compréhension plus éclairée de sa puissance et de ses limites. 

S’ensuit un passage sur le statut de la théologie, comme une rationalisation intellectuelle de l’inspiration religieuse, ce qui amène l’auteur à revenir sur son célèbre concept de « désenchantement du monde ». Il conclut ainsi sa présentation sur la vocation du savant par une réflexion sur la rationalisation et l’intellectualisation du monde. Une rationalisation et une intellectualisation qui éclipsent peu à peu le sentiment d’unité que les religions d’antan arrivaient à inspirer aux Hommes. Weber assène ici une forme d’avertissement, il explique, en quelques lignes, que toutes tentatives de persévérer dans la voie du religieux se confronte à une certaine forme de déliquescence, empreinte d’une nostalgie délétère et peu créative. Reste alors le choix, soit que l’on s’abandonne via un sacrifice de son intellect dans les bras miséricordieux des vieilles Églises, soit que l’on adopte la probité intellectuelle qui ne se contente pas de l’attente et de la ferveur, en nous mettant dès maintenant au travail afin de répondre aux demandes de chaque jour. Un travail qui se verra faciliter et simplifier, autant que faire se peut, par l’analyse des raisons et valeurs qui sous-tendent nos décisions. 

Cette première partie étant conclue, l’ONG Civilisation 2.0 vous invitera prochainement à découvrir les vues de Max Weber sur la position du politique. Une autre posture importante à comprendre afin de saisir les tenants et aboutissants des décisions qui se prennent en plus haut lieu. Puisque les pensées de Weber, bien que datées, n’en gardent pas moins un écho certain dans les actions et les pensées contemporaines. Cet écho étant certain, il est important pour nous d’en saisir le sens que l’auteur souhaitait réellement lui donner, afin de ne pas faire l’erreur de travestir sa pensée. 

Par ailleurs, comprendre les postures du savant et du politique nous semble primordial pour toutes personnes désireuses de s’intéresser à la prospective. En ce sens, cet écrit de Max Weber est, selon nous, nécessaire.

Rendez-vous prochainement dans notre seconde partie, afin de plonger ensemble dans les arcanes du politique selon Weber.

–  Techer Mathias

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About the author

Mathias TECHER

En tant que président de l'ONG Civilisation 2.0, mon intérêt pour la connaissance se veut transdisciplinaire, tout comme l'objet de notre organisation. D'où l'intérêt, pour nous, de vous faire découvrir les lectures qui constituent la charpente de nos connaissances. Je mets donc ici à contribution mes réflexions et mon recul sur les différentes ressources bibliographiques qui constituent la moelle épinière de notre organisation. Une rubrique qui contribuera, à n'en pas douter, à l'essor des pensées et des actions proactives de tout un chacun.

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